Glanes en Pays pourpré

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Le dernier Glanes

Glanes

Les objectifs

Née en 1982 le premier rédacteur en chef, André Ronceray, présente le premier « Glanes en Pays Pourpré » en ces termes :
« La revue est le fruit du premier travail de la commission « Edition » de l’Association Culturelle de l’Ecomusée. Elle appartient donc, en premier, à l’association dont elle se veut et se doit d’être le reflet et parlera, par conséquent, des activités et des expositions de l’Ecomusée, et du travail de l’association…
La culture est orale ou écrite. Elle est musicale, picturale, architecturale, chorégraphique, poétique, etc… Elle est, en fait, aussi nombreuses que les hommes et les jours qu’ils vivent. Elle est donc si vaste qu’elle nous occupera souvent et longtemps et que ce numéro 1 de Glanes en Pays Pourpré n’est, souhaitons-le, que le premier d’une longue série. »…  en 2006 est paru le n° 75.

A cette époque l’entité Pays de Montfort, définie par le « Contrat de Pays » reprenait les limites géographiques de l’ancien arrondissement de Montfort de 1791 qui était composé des 5 cantons de : Montfort, Plélan, Saint-Méen, Bécherel et Montauban.
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Le territoire couvert

A cette époque l’entité Pays de Montfort, définie par le « Contrat de Pays » reprenait les limites géographiques de l’ancien arrondissement de Montfort de 1791 qui était composé des 5 cantons de : Montfort, Plélan, Saint-Méen, Bécherel et Montauban.
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Pourquoi Glanes ?

    Le verbe glaner est bien vieux semble-t-il et ses ancêtres « glenare » remontent respectivement à l’époque gauloise et au XIIIème siècle….
Au Moyen Age une glane était alors le nom donné à une poignée d’épis, échappée à la faucille des moissonneurs et ramassée par les paysans.
« Que seront les glanes de l’Ecomusée ? Non pas les grains que les pauvres disputaient jadis aux oiseaux mais la découverte, la connaissance du passé culturel, ô combien riche de ce « pays pourpré » où les « anciens » ont laissé pour les siècles à venir les empreintes de leur art de vivre. » Mme Leforestier.
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Pourquoi Pourpré ?

    Tout simplement en référence à la couleur de la pierre (schiste  pourpre) caractéristique du Pays de Montfort. Une de ses variantes parsemée de pointes de quartz a été baptisée par les géologues la pierre de Montfort, appelée également Poudingue.
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Les Directeurs et Directrices de la Publication :

- André Ronceray
- Jean-Pierre Ducloyer
- Anne Richard
- André Lapeyre
- Estelle Guilmain

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Les lieux de dépôt :

Montfort sur Meu

Ecomusée

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Les anciens numéros

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Vous pouvez proposer un article à l'adresse suivante :  glanes.epm@free.fr
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